C’est ainsi que les habitants de San Cristobal nomment leur île.
Ils semblent en tout cas avoir beaucoup de bonheur d’y vivre et nous, d’y avoir goûté quelques jours!
La symbiose entre les humains et les animaux, tout particulièrement avec les otaries, y est étonnante.
Puerto Baquerizo Moreno est la capitale administrative des Galapagos et la seule vraie agglomération de San Cristobal(6’000 habitants, 30 voitures privées, 140 pick-ups taxis et une seule route). Le reste de l’île est de la nature sauvage sans accès terrestre.
Nous partons ce soir, pour arriver demain dans la journée à Puerto Villamil, sur l’île d’Isabela, distante d’environ 160 kilomètres.
Cela sera notre deuxième étape aux Galapagos.
Une troisième escale sera nécessaire à Puerto Ayora, île de Santa Cruz, pour remplir les formalités de sortie de l’Equateur.
Hommage à Darwin
Charles Darwin est un grand homme pour les Galapagos. C’est à San Cristobal qu’il a débarqué pour la première fois (à 500 mètres du mouillage de Viramundo) pendant son voyage de cinq ans à bord du “Beagle” dont le commandant était l’amiral Fitz Roy de 1831 à 1836.
Ci-dessus, 2 des 14 espèces endémiques de pinsons qui sont un des piliers de la théorie de l’évolution des espèces élaborées par Darwin. Elles ont évolué chacune selon leur environnement propre à l’île sur laquelle l’oiseau vit.
La fauvette jaune
Le héron des laves
La frégate magnifique
Les très peu farouches iguanes marinss!
Le crabe rouge Sally-pied-léger
A la recherche des tortues
Le terme”galapago” vient d’un vieux mot espagnol signifiant “selle” en raison de la forme des carapaces
Les otaries :
…filmée à la gopro
Contrastes entre les bords de mer…….
……et le sommet de l’île
La lagune, réserve d’eau douce, El Junco, où les frégates viennent rincer leur plumage
Un goyavier qui pousse en zone humide
Ambiance de Puerto Baquerizo Moreno pendant les prémices du Carnaval:
Le bateau-taxi nous emmène à terre
